16 mars

Dans le premier texte, Simon Yuill nous retrace l'histoire et les origines de la programmation. C'est très intéressant de voir l'évolution de ce domaine qui est aujourd'hui a la base de notre société. Au début, c'était pour des buts totalement autre que l'informatique, désignant le processus amenant a créer un motif. Cette logique venant du monde arabe a été créée pour la production et l'utilisation des documents a l'intérieur du lourd système bureaucratique de l'empire Abbasid. L'avénement de ces techniques dans le monde occidental nous ont amenés entre autres l'algèbre, mot dérivé de l'arabe ''al-djabr''. Le second texte ''diagram of an operationnal construct'' nous montre la relation que l'on a avec les appareils technologique dans un contexte militaire. Nous sommes constamment en synergie avec les appareils que l'on utilise a travers un genre de grille qui met dans un espace virtuel commun les soldats, les armes, les systèmes de communication et les commandants. L'ensemble des composantes, incluant tout l'environnement physique sont concentré dans ces systèmes, ce qui rend le soldat dépendant de ce tout. La limite entre l'homme et la machine est floue et le deviendra de plus en plus. Le dernier texte portait sur la perception du design par rapport a son côté déconecté du réel. Comme le disait si bien E.Manzini "La responsabilité ultime du designer est de contribuer a la production d'un monde habitable" . Il est donc naturel que dans lesconcepts d'un designer indépendant de toute pression de corporations ou autres, le produit crée une distance avec la réalité qui permet a celui qui la regarde d'apprécier la vrai valeur conceptuelle de l'objet. Pour créer l'effet désiré sur l'observateur, le designer doit lui-même décider des caractéristiques du design qu'il exposera, car pour faire réfléchir l'observateur, il faut qu'il soit ouvert et enclin a l'idée en question. En fait, ça devient une sorte de tactique, un genre d'apprivoisement soit par la qualité plastique, ou par un contionnement inusité. Toutes les raisons sont bonne pour créer l'effet désiré.