Friedrich Kitler dans son texte Preface to Gramophone, Film, Typewriter avance que les medias déterminent notre situation. En fait, son analyse médiatique repose sur la transformation au fil des âges des moyens de communication. De la parole à l’écriture en passant par l’enregistrement phonographique au film, l’information se perd dans des trous noirs et l’intelligence artificielle qui gère cette masse d’informations, nous abandonne sur le chemin des commandes complexes. Lorsqu’il opère à leur limite, les médias plus anciens, tel l’écriture, sont assez sensibles pour enregistrer les signes et les indices d’une situation donnée. De plus, Kitler prétend que contrairement à ce que McLuhan prétendait, les médias resteront toujours incompréhensibles car les technologies actuelles exercices un contrôle direct sur toute la compréhension possible et évoque son illusion.
Dans le texte, There is no software, Kitler prétend que les logiciels n’existent pas car ils sont intrinsèquement liés aux matériels (hardware) donc nécessairement, ils ne peuvent exister que si les matériels existent.
Le texte de Kitler apporte un point de vue différent et plus actuel sur les médias que tous les autres auteurs que nous avons vus au préalable. Sa vision de la transformation de l’écriture, médias anciens, en une information plus volatile et malléable est assez intéressante. Parcontre, noius sommes moins convaincus par son texte There is no software, où il remet en cause l’existe des logiciels. Nous croyons que ces drniers exoistent en eux-mêmes au point d’être partagé sur Internet et en personne.
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